mercredi 7 juillet 2010

Histoire d'épines

C'est un fait. J'ai deux jours de retard. Mais j'ai une bonne excuse: 3 épines (trois!) impossibles à retirer de mon pouce de la main droite depuis hier (ok mauvaise excuse). Non en fait, hier après les cours, nous avons silloné Paris pour visiter les boutiques des grandes maisons de fleuristeries de la câpitâle. Donc je suis rentrée trop tard, et en plus avec des épines (pour de vrai) que j'ai pas réussi à retirer (pour de vrai aussi) et du coup je me suis fait engueuler par la prof ce matin (mais ça c'est une autre histoire).

Bref, je ferai donc court comme j'ai deux jours à couvrir (et que je dois toujours retirer ces foutues épines). On a donc fait encore un peu de deuil, et là j'ai bien frôlé la crise d'apoplexie quand on s'est lancé sur le coeur piqué (surtout que j'ai écopé des dalias jaunes et je déteste le jaune, et les dalias). Enfin bon, devant mon scepticisme marqué, la prof a perdu patience, ou eu pitié (suis toujours pas sûre) et elle m'a filé un coup de main.


Pour remonter le moral des troupes, nous avons ensuite eu droit à deux bouquets. Le premier avec une structure, genre bidouille on finit les fleurs qui traînent... bon la photo est ultimement mauvaise, pardon... pas réussi à faire mieux dans le rush hier, et comme je l'ai laissé à l'école toute la nuit dans pas du tout assez d'eau, impossible à refaire. Mais franchement, je l'aurai bien mis chez moi!


Et enfin le clou de la journée, qui m'a valu les épines, le voici le voilà:



Un bouquet "botte", constitué de 20 roses "de jardin", donc qui sentent bon, mais dont les gênes n'ont pas été trafiquées pour supprimer les aiguilles. Et il y en avait une en particulier, que j'ai tout de suite surnommé "commando", parce qu'elle aurait pu être utilisée comme arme de défense stratégique en cas d'agression dans le métro (Tiens! Le concept du bouquet "arme blanche" je suis sûre que personne n'y avait pensé!)
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